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Le portrait du fondateur : le pasteur Yvon Charles
Le portrait du fondateur : le pasteur Yvon Charles

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Jean-Pierre & Sabrina Sabatier
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Le prophète Martinus Bjerre & le pasteur Yvon Charles
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Pasteur Josué DAKIO :

« Le Centre missionnaire est véritablement un phare enraciné dans les saintes Écritures ! »

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21 novembre 2024

Burkina-Faso

Mes bien-aimés, bonjour ! C’est un privilège pour moi de partager avec vous, en quelques mots, ce que le Seigneur a fait dans ma vie.

Je m’appelle Josué Dakio, j’habite le village de Saworokuy, qui fait partie de la commune de Doumbala, dans la province de la Kossi, dont le chef-lieu est Nouna, l’une des 45 provinces du Burkina Faso.

MA CONVERSION

Je suis né dans une famille chrétienne et j’ai fréquenté une école primaire privée évangélique, où je recevais une éducation chrétienne, aussi bien à l’école qu’en famille. Toutefois, je n’avais pas véritablement donné ma vie à Jésus-Christ. Néanmoins, je comprenais qu’il y a un paradis et un enfer.

À l’âge de 10 ans, au cours de cette même année, j’ai commis une mauvaise action qui a entraîné une correction sévère de la part de ma mère. Cependant, je me suis révolté contre elle, car j’étais persuadé que sa punition était disproportionnée par rapport à ma faute. Cela m’a donc mis en conflit avec elle.

C’est pendant cette période sombre de ma vie que Dieu a permis le passage d’un évangéliste malien nommé Caleb Dembélé. Lors d’une de ses prédications, j’ai été profondément touché. Il parlait de la conséquence éternelle de la rébellion de l’homme contre Dieu, en la comparant à la rébellion des enfants envers leurs parents. Ses paroles ont résonné en moi, car elles décrivaient exactement ce que je vivais. Je me suis senti envahi par un profond sentiment de culpabilité.

Ainsi, lorsque le prédicateur a lancé un appel, je me suis levé promptement pour me repentir et donner mon cœur à Dieu. Il a ajouté que Dieu voit ceux qui s’humilient et se repentent sincèrement ; Il ne les rejette pas et a un plan d’amour pour chacun d’eux. Dieu peut utiliser chaque personne dans Son œuvre, à l’instar de Son serviteur David dans la Bible.

Ensuite, on m’a mis à l’épreuve, en raison de mon jeune âge, pour vérifier si j’avais bien compris ma décision et que ce n’était pas un acte irréfléchi. C’est ainsi que j’ai accepté le Seigneur dans ma vie !

Suite à cela, je me suis réconcilié avec ma mère, qui m’a aussi pardonné. Dès cet instant, j’ai ressenti un profond désir de devenir, comme David, un instrument entre les mains de Dieu, malgré mon jeune âge.

MA PRÉPARATION AU SERVICE DE DIEU

      À l’âge de 18 ans, une autre crise survint, cette fois entre mon père et moi, à cause de mon parcours scolaire. J’ai alors décidé de partir à l’aventure, en particulier en Côte d’Ivoire. Une nuit, pendant mon sommeil, une personne est venue me dire d’abandonner mon projet d’aventure. Cette même personne m’a dit qu’elle voulait m’envoyer dans une école où je retrouverais des camarades de mon école primaire et qu’elle serait notre enseignant. J’étais très content ! Mais à mon réveil, j’ai compris que ce n’était qu’un songe, et la joie que j’avais ressentie s’est dissipée.

Malgré cela, j’ai persisté dans mon idée initiale et ai entrepris de chercher ma carte d’identité, qui me permettrait de voyager librement. J’ai dû me rendre dans la localité où se trouvent les services de la police afin d’obtenir ce document. Finalement, j’ai réussi à obtenir cette pièce qui me tenait tant à cœur.

Sur le chemin du retour, une connaissance qui m’avait auparavant hébergé un certain temps m’a remis une enveloppe contenant des informations sur l’Institut Maranatha. Il s’agissait de l’ouverture d’un institut biblique à Bobo-Dioulasso, la deuxième ville du Burkina Faso, qui s’appelait alors la Haute-Volta. Le souvenir du songe que j’avais eu la veille m’est alors revenu en mémoire. J’ai donc décidé de postuler avec une recommandation de mon église locale, signée par mon pasteur. J’ai été admis dans cette école pour une formation de cinq ans, de 1976 à 1981. À l’issue de cette formation, j’ai continué à servir dans l’Église de l’Alliance Chrétienne au Burkina Faso.

Ma formation pastorale à l’Institut Maranatha terminée, j’ai principalement œuvré en milieu rural.

Pour poursuivre ma formation personnelle et continue, j’ai suivi des cours avec Jeunesse en Mission. J’avais également à cœur de suivre l’École des Fabricants de Joie et celle du Développement Communautaire. J’ai eu la responsabilité d’animer des groupements villageois centrés sur l’église, des structures associatives visant à sensibiliser, former et soutenir les paysans afin d’accroître leur production agricole et d’améliorer leurs conditions de vie. Cette période a duré trois ans. J’ai été pasteur dans quatre localités, et le village où je me trouve actuellement est le cinquième. J’ai été consacré pasteur en 1992.

LE CENTRE MISSIONNAIRE DE CARHAIX

     Face à certaines difficultés, j’ai eu la chance d’échanger avec mon collègue, ami et frère Emmanuel Moukoro. Il m’a parlé du Centre Missionnaire de Carhaix, en France, où il avait suivi une formation pastorale complémentaire. Il m’a dit : « Ce qu’il te faut, c’est un recyclage, d’autant plus que ta formation initiale date d’il y a longtemps ! » Puis, il a ajouté : « Ils ont un excellent programme de formation biblique et des enseignants chevronnés ! » Nous avons prié ensemble.

Mon inscription à l’institut biblique du CMEB…

Après avoir mûrement réfléchi et prié, j’ai envoyé un e-mail au Centre Missionnaire, qui m’a répondu immédiatement en m’envoyant les formulaires de candidature.

J’ai cependant pris du retard dans le processus d’inscription, ayant envoyé mon dossier avec un peu de retard. J’avais donc des doutes quant à mon admission. Mais le Seigneur m’a parlé, me donnant la conviction que c’était Sa volonté que je suive la formation au Centre Missionnaire. Une nuit, pendant mon sommeil, une personne m’a montré une salle de classe et m’a désigné une chaise libre, en disant : « Cette chaise t’est réservée ! »

J’ai ainsi reçu une confirmation : mon dossier a été accepté, et j’ai été admis pour une formation pastorale à l’institut de formation du Centre Missionnaire. J’ai eu la certitude claire que c’était bien le Seigneur qui m’avait parlé. Je pouvais donc partir pour ce centre de formation en France, avec la conviction que c’était Sa volonté !

Après avoir reçu cette double confirmation, de la part du Seigneur et du Centre Missionnaire de Carhaix, je me suis mis en quête des fonds nécessaires pour le voyage. Pendant ces démarches, j’ai été victime d’un accident de la circulation, une semaine avant mon départ. Malgré cela, par la grâce de Dieu, j’ai réussi à réunir la somme pour le billet d’avion et le trajet en TGV, et j’ai pu accomplir ce voyage.

Mon arrivée au Centre Missionnaire

Lorsque je suis arrivé à la gare de Carhaix, des frères du Centre Missionnaire sont venus m’accueillir ! J’ai été marqué par leur accueil chaleureux, le respect mutuel, et surtout par la discipline, tant individuelle que collective, qui règne au Centre Missionnaire. Cela m’a beaucoup impressionné, vraiment.

Le Centre Missionnaire dispose d’excellents enseignants qui associent leur savoir-faire à une vie spirituelle exemplaire ; en d’autres mots, ils vivent ce qu’ils enseignent ! Ma formation s’est très bien déroulée. J’ai cependant rencontré quelques difficultés en initiation au grec, mais en dehors de cet obstacle, la formation pastorale s’est globalement bien passée. Ce temps d’apprentissage a été pour moi un profond moment de ressourcement, de renouvellement et d’expérience spirituelle.

Cette formation m’a aidé à mieux me connaître, à être davantage à l’écoute des autres, et à comprendre que la formation continue est essentielle pour rester solidement ancré dans la Parole de Dieu et être efficace dans le ministère.

Suite à cette formation solide et enrichissante, je n’avais plus les complexes que j’avais auparavant. J’ai également compris davantage que le Dieu de la Bible n’est limité ni par le temps ni par l’espace. C’est le même Dieu qui agit en France, en Afrique et ailleurs, par le Saint-Esprit, au nom de Jésus-Christ, pour le salut des âmes ! J’ai pris pleinement conscience que l’amour de Dieu est véritablement universel.

Après cette formation, ma vision du monde a radicalement changé. Ma conviction de la présence de Dieu en tout temps et en tout lieu s’est intensifiée. Ce temps de formation au Centre Missionnaire a été un déclic dans ma vie, me rendant constamment sensible à l’amour du prochain.

J’ai beaucoup apprécié la communauté des frères et sœurs du Centre Missionnaire de Carhaix. Tous s’habillent décemment et affichent un comportement exemplaire, engagés dans le service du Seigneur et dans diverses activités. C’est vraiment une œuvre qui s’apparente à l’exemple de l’Église primitive décrite dans la Bible. Unis autour de la Parole de Dieu, chacun accorde une attention particulière à la vie et aux besoins de chaque membre. La mutualité, l’amour fraternel, la communion, la discipline, l’amour pour Dieu et Sa Parole, ainsi que l’engagement des uns envers les autres, caractérisent les frères et sœurs du Centre Missionnaire de Carhaix. Leur modèle de vie biblique et saine ne m’a pas laissé indifférent. L’œuvre du Centre Missionnaire est fondée sur des principes bibliques que d’autres considèrent comme révolus.

Le pasteur fondateur du CMEB

Le Pasteur Yvon CHARLES est incontestablement un homme de Dieu, oint par le Saint-Esprit, pétri par la Parole de Dieu et riche d’expériences spirituelles et humaines. Il vit ce qu’il dit et ce qu’il enseigne ! À l’image de l’apôtre Jean, il guide les gens à connaître Jésus-Christ, à Le suivre et à Le faire connaître. J’ai déduit cela en suivant ses études bibliques et les messages des dimanches. Pour moi, le Pasteur Yvon CHARLES est une référence dans le milieu évangélique, non seulement en France, mais aussi en Afrique.

Tous les prédicateurs du Centre Missionnaire apportent un message toujours profond et biblique, chacun avec ses particularités et le talent qu’il a reçu de la part du Seigneur.

MON MINISTÈRE SUITE A CETTE FORMATION

     Après plusieurs années d’expérience dans le ministère pastoral, le Seigneur a mis dans mon cœur le désir de créer une association visant à soutenir les couches sociales vulnérables. Cette association, dénommée SAREPTA, tire son origine des Saintes Écritures. À SAREPTA, trois catégories de personnes sont particulièrement mises en avant : l’homme de Dieu, la veuve et l’orphelin.

L’association a mené plusieurs actions de développement et de nombreuses initiatives humanitaires, grâce à la participation de ses membres et à celle d’ONG partenaires. Par exemple, en 2019, nous avons assisté des réfugiés maliens fuyant le terrorisme, les groupes armés et les conflits intercommunautaires.

Culte dominical (Josué Dakio)
Culte dominical, fidèles à l'exterieur (Josué Dakio)

Nous, en tant qu’association humanitaire, sommes souvent pris entre le marteau et l’enclume. D’une part, des personnes en difficulté se tournent vers nous pour demander de l’aide ; d’autre part, nous faisons face à des individus malintentionnés qui profèrent des menaces. Dans la seule province de la Kossi, 18 églises ont été fermées, et tous ces villages sont vidés de leurs habitants. La situation est très préoccupante.

Ce qui me tient particulièrement à cœur, c’est de solliciter de l’aide pour ces personnes vulnérables et d’aider à leur réinsertion sociale. À court terme, je souhaite assister les collègues pasteurs qui ont, pour la plupart, tout perdu. À long terme, mon objectif est de récupérer les jeunes filles non scolarisées ou déscolarisées, ainsi que celles qui ont été rejetées, afin de leur offrir une formation dans des métiers qui faciliteront leur insertion sociale.

Nous sommes frontaliers avec le Mali, ce qui favorise l’immigration de nombreux jeunes hommes et jeunes filles vers la capitale, Bamako, à la recherche d’une vie meilleure. Malheureusement, plus de 50 % de ces jeunes filles reviennent avec un ou deux enfants, devenant des mères précoces, parfois des délinquantes. Le pire, c’est que certains intègrent des groupes armés.

Dans un autre domaine, nous allons travailler avec les populations actives pour la réhabilitation des terres cultivables. Actuellement, toutes ces activités sont des moyens d’évangélisation. Plusieurs déplacés se sont ouverts à l’Évangile. Malheureusement, je constate que les chrétiens manifestent une certaine méfiance à leur égard.

Il est vrai que le temps de persécution est un temps de souffrance, mais je crois aussi que c’est un moment favorable pour annoncer l’Évangile.

D’une manière générale, cette œuvre se déroule bien. Il est important de souligner que c’est la main du Seigneur qui nous protège dans un climat de persécution préoccupant.

J’ai reçu de l’aide du Pasteur Yvon CHARLES via le Centre Missionnaire, encore récemment, en 2024, suite à des attaques terroristes où plusieurs maisons ont été incendiés, dont la mienne. Cette aide nous a permis de venir en aide à plusieurs personnes. Depuis deux ans, nous sommes soumis à un couvre-feu, ce qui impose des restrictions sur nos activités. Comme je l’ai mentionné précédemment, 19 églises, par exemple, sont fermées. Dans une telle situation, ce dont nous avons le plus besoin, c’est avant tout de la prière. Ensuite, encore de la prière, et troisièmement, toujours de la prière.

Cela veut-il dire que nous n’avons plus besoin d’autre chose ? Dans un sens, oui, car le Seigneur est avec nous. Mais humainement, nous avons toujours besoin d’autres ressources : des Bibles, des vivres, des puits pour répondre aux problèmes d’eau, et bien d’autres choses. Cependant, c’est à nous de faire notre part ! Si l’Église invoque continuellement le Seigneur, ce temps sombre finira par passer. Pendant ce temps, travaillons pour la gloire du Seigneur et pour le salut des âmes.

Tous ces ministères se déroulent dans un contexte de bénévolat. Je vis par la foi. J’ai appris le contentement, malgré de multiples besoins à la fois pour ma famille et pour l’œuvre. La persécution de l’intérieur comme de l’extérieur de l’Église fait partie intégrante de ma foi en Jésus-Christ.

Vue partielle d'un culte dominical (Josué Dakio)
Par manque de place, des fidèles restent à l'extérieur (Josué Dakio)

MES IMPRESSIONS SUR L’ŒUVRE DU CMEB

    Je vous avoue qu’il m’a fallu passer par le Centre Missionnaire pour apprendre à placer entièrement ma confiance dans le Seigneur, sans fixer au préalable une condition humaine. Cette formation m’a permis de m’enraciner davantage dans la foi et d’adopter une approche plus pragmatique. Elle m’a également aidé, comme je l’ai mentionné plus haut, à mieux comprendre l’amour universel de Dieu, ce qui m’aide à tenir ferme face aux différentes situations. Gloire à Dieu !

Le Centre Missionnaire de Carhaix est une œuvre de bénédiction. Sur le plan pratique, les instituts de formation en Europe sont très difficiles d’accès et, selon moi, ne sont pas vraiment « ouverts » aux étrangers. Je remercie le Seigneur que le Centre Missionnaire dispose d’un institut qui prend en compte les pays étrangers ; c’est une véritable grâce du Seigneur !

De plus, le Centre Missionnaire accueille des pasteurs et des personnes de différentes dénominations, sans être étriqué comme le sont certains, enfermés dans leurs propres traditions. Le Centre met tout en œuvre pour que tous ces participants reçoivent le savoir essentiel dont ils ont besoin. Je n’ai jamais entendu de propos remettant en cause telle ou telle dénomination. Mieux encore, chacun est éclairé et édifié. La solidité de leurs enseignements et leur fidélité reposent sur le fondement inébranlable de la Parole de Dieu.

Le Centre Missionnaire est véritablement un phare, une lumière qui guide le chemin à suivre, grâce à des dirigeants qui sont enracinés et fondés dans les Saintes Écritures. Ils œuvrent dans une fidélité sans compromis ni légèreté.

L’œuvre du Centre Missionnaire aurait sans doute dévié si elle n’était pas restée fidèle à la Parole. Je rends grâce au Seigneur pour l’homme de Dieu le pasteur Yvon CHARLES qui demeure fidèle coûte que coûte.

Je profite de ce témoignage pour lui exprimer ma profonde gratitude, « papa » (le pasteur Yvon CHARLES) est un homme qui incarne les premiers bâtisseurs de l’Église. Fidèle à sa vision et intransigeant face à tout « dérapage », il est oint pour la mission qu’il préside. Que le Seigneur multiplie Ses bontés.

À tous les autres prédicateurs, je vous remercie de tout cœur. Vous avez tous été une bénédiction dans ma vie, et je saisis cette occasion pour l’exprimer. Demeurez sous la conduite du Saint-Esprit, comme vous l’êtes, afin d’être encore plus en bénédiction pour beaucoup.

Demande de soutien dans la prière…

     Je vous demande de prier pour le Burkina Faso de manière générale, en particulier pour l’Église du Burkina Faso, afin qu’il y ait un réveil spirituel. Enfin, merci de prier pour ma famille que j’ai oublié de vous présenter. J’ai une épouse, et Dieu nous a bénis avec huit enfants, dont trois filles et cinq garçons. Priez pour que le Seigneur ouvre des portes de travail pour ces enfants et qu’ils restent tous attachés au Seigneur. Que l’aîné des garçons, qui s’est engagé à servir le Seigneur, le fasse sous la conduite du Saint-Esprit. Enfin, priez pour que des partenaires techniques et financiers soient trouvés pour nous accompagner dans nos différentes activités pour l’avancement du royaume de Dieu sur terre. Toute la gloire à Dieu au nom de Jésus-Christ.

Conclusion…

     Le Centre Missionnaire, tel que je le connais, est recommandable à tous les niveaux. Dans tout le milieu évangélique que j’ai fréquenté, il reste exemplaire et constitue une référence ! Mon souhait est qu’il y ait des centres comme celui-là partout en France et, le cas échéant, dans le monde entier. Je suis vraiment convaincu que le pasteur Yvon CHARLES a été inspiré par Dieu et par le Saint-Esprit pour la création de cette œuvre, avec l’exemple de la structuration de l’Église des premiers jours. Cela devrait en principe être le cas partout, et je le dis avec conviction. Que la paix et la grâce du Seigneur soient avec vous.

Je remercie également les frères à la base de la création de cette plateforme des amis du CMEB. La vision est très bonne et inspirée par Dieu ! Que cette plateforme soit un puissant soutien pour l’avancement du royaume de Dieu en France, en Afrique et partout dans le monde. Mon souhait est qu’une rencontre soit organisée dans l’avenir pour donner plus de visibilité au mouvement naissant (des amis du CMEB). Cette plateforme est encore à l’état embryonnaire, mais par la prière, suivie d’actions concrètes, mon souhait pourrait alors devenir une réalité. Puisse le Seigneur affermir notre chemin, à l’honneur et à la gloire de Jésus-Christ, notre Sauveur et Seigneur.

Soyez bénis de la part du Seigneur.

Fraternellement,

PasteurJosué DAKIO

Église Évangélique de l'Alliance Chrétienne au Burkina Faso (EAC-BF)